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Pépère le chat du poète, suite

#1
Donc reprenons l'histoire d'avant hier.
Et voilà comment l'idée lui vint en passant devant le moulin rouge de voler les ailes pour les mettre sur mon hélicoptère.
Et voilà qu'il failli se faire pincer une seconde fois et qu'il partait si vite qu'il prit la direction de la Bretagne plutôt que de revenir vers le centre de la France.
Et voilà comment il se faisait arrêter à Brest le lendemain matin et qu'il fut emmené à Paris pour être interrogé et que love Pépère est actuellement devant le lin rouge pour une fausse enquête pour les fausses informations que l'ont fait croire à ceux qui croivent chat chat chat.
Décidément ce Pépère est un phénomène, mais où va-t-il chercher tout ça...

La suite demain.

Oui, ce phénomène est connu dans le domaine de l'électricité et de l'électronique aussi bien que dans le milieu des centralologue nucléairologue les gens qui travaillent là-dedans sont bourrés d'électricité statique et utilisent ce genre de chaussettes.
Mon centenaire rentrait donc heureux chez lui se sentant plus léger.
Forcément, à l'ordinaire, il était lesté d'un poids de milliers de tonnes de volts constamment.
Donc, ma fille pour te dire mon demi-roux moitié pas blond et totalement faussement brun à une couleur de cheveux extraterrestre.
Mais sœur Mathilde, irait elle mieux après ?
- Mon papa, c'est une drôle d'histoire encore que tu nous racontes sur notre maître.
- - Oui ma fille, c'est un drôle de phénomène, tu peux le croire. Une fois, il a même failli électrocuter son chat à cause de ses repas ondeux.
- Ha oui, à ce point-là, que s'est-il passé, il t'a caressé avec des mains pleines d'électricité ?
- Pas du tout, Lolo c'était à cause de la mère patate qui lui avait donné une mixture pas fraîche.
- Mais qui est la mère patate, mon papa ?
- Hé bien ma fille, c'est la mère tricot aussi appeler la mère chaussette.
- C'est compliqué de comprendre cette histoire.
- Oui, Lolo, tu as raison moi aussi, je suis perdu.
- C'est pourtant très simple ma fille et quand tu sauras l'histoire, tu me diras, toi et Lolo, mais bien sûr, pourquoi je n'y ai pas pensé plus tôt.
La mère tricot, dit la mère chaussette est une vielle femme qui fait des plantations de pommes de terre ondeuses.
- Des pommes de terre ondeuses, mais qu'est-ce que c'est que ça ?
- Hé bien, Lolo, ce sont des pommes de terre en ondes qu'il faut arroser avec des volts pour qu'elles poussent et y mettre un peu d'engrais watteux qui est un engrais bourré de watts et d'omh.
Le problème de ces pommes de terre, c'est qu'elles craignent la lumière aussi bien que le froid et le chaud.
La vieille étant un as du tricot, elle fait du pull spécial frileux pour le frère du soûlard qui est très frileux.
- Des pulls spécial frileux, mais qu'est-ce que c'est que ça mon papa ?
- Hé bien, ma fille le pull pour frileux est un pull très épais de dix centimètres d'épaisseur. D'une dizaine de kilos, il est capable de maintenir la température du corps à soixante degrés ce qui permet au frileux de plus jamais avoir froid.
Après, c'est très dur à tricoter, car la laine est plus grosse qu'une corde. Il faut des aiguilles spécifiques qui sont aussi grosse qu'une barre à mine. Mais la vieille s'en sort parfaitement avec cet ouvrage.
Donc un jour la mère chaussette patate reçut mon bougnat napolitain bourré de millions de volts chinois pour lui livrer une commande pour son frère.
La mère tricot n'arrêtait pas de geindre, car elle perdait beaucoup de patates sur ses récoltes dus aux changements brutaux de température.
Mon curé, qui est un peu le Marc givré de la commune, lui conseillait de tricoter des chaussettes en Kevlar pour ranger les pommes de terre.
Sitôt dit sitôt fait que plus tard ça aurait été oublié et trop tard de ne pas être si tôt, la vieille commandait des rouleaux de Kevlar et le lendemain elle se mettait à l'ouvrage des chaussette pour patates ondeuses.
La réussite de cette affaire conduisait la vieille à doubler sa production de patates oudeuses. En plus avec la chaussette, la pomme de terre ne perdait aucun gramme d'onde.
Un matin, mon curé croisait la mère patate et lui reparlait de cette affaire de chaussettes patateuses.
La vieille lui affirmait que c'était une réussite totale et qu'elle produisait tellement qu'elle ne pouvait pas tout vendre.
Du coup, disait-elle, je fais de la purée à chaque repas et je ne peux pas malheureusement tout manger. En voulez vous, le rouquin de service qu'elle lui disait.
Pensez donc, mon curé, il est toujours partant pour satisfaire ses dents et son estomac.
Oui, mais voilà ce que ne savait pas mon moine, c'est que la purée était avariée.
Et voilà comment il se mettait à me vomir des ondes sur le dos et que j'ai failli mourir électrocuté à cause de la purée de patate ondeuses avariée.
Hé bien, mon papa quelle histoire.
La sœur revenait enfin à elle, serait elle assez en forme pour fournir des explications.

La suite demain.